Aller au contenu

La Rivière-de-Corps

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Rivière-de-Corps
La Rivière-de-Corps
L'hôtel de ville.
Blason de La Rivière-de-Corps
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Christophe Chomat
2020-2026
Code postal 10440
Code commune 10321
Démographie
Gentilé Ribocortins, Ribocortines
Population
municipale
3 651 hab. (2021 en évolution de +14,13 % par rapport à 2015)
Densité 503 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 19″ nord, 4° 01′ 14″ est
Altitude Min. 108 m
Max. 136 m
Superficie 7,26 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-André-les-Vergers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Rivière-de-Corps
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Rivière-de-Corps
Géolocalisation sur la carte : Aube
Voir sur la carte topographique de l'Aube
La Rivière-de-Corps
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
La Rivière-de-Corps

La Rivière-de-Corps est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de La Rivière-de-Corps
Sainte-Savine
Torvilliers La Rivière-de-Corps
Saint-Germain Saint-André-les-Vergers

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

La commune est dans la région hydrographique « la Seine de sa source au confluent de l'Oise (exclu) » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Vienne[1],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de la Rivière-de-Corps[Note 1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Lorraine, plateau de Langres, Morvan »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 644,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −23 °C, atteinte le [Note 2],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , La Rivière-de-Corps est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,6 %), zones urbanisées (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom La Rivière-de-Corps proviendrait de la Bataille des champs Catalauniques, qui se déroula non loin de la ville de Troyes, le . Cette bataille opposa Attila le Hun aux Romains et aux Francs. La bataille fut très sanguinaire. Alors, la Vienne[15], cours d'eau traversant Saint-André-les-Vergers, Torvilliers ainsi que La Rivière-de-Corps, aurait débordé, car il y aurait eu trop de corps présent dans l'eau[16],[17].

Le fief relevait du comte de Champagne par son château de Troyes, puis du roi de France. Parmi les seigneurs ecclésiastiques il y avait l'abbaye de Montier-la-Celle pour des dîmes depuis un don de Girard de la Rivière d'après une charte de la fin du XIIe siècle ; le chapitre Saint-Etienne de Troyes pour une terre libre de droit et achetée en 1157 à Maurice de Laines. Le même chapitre acquit les droits d'une sixième de haute et basse justice y compris une terre en relavant en 1332 à Wautier d'Aubigny ; reçût en 1342 une rente de six livres de la part de Hue de Frolois, sire de Molinot.
Comme seigneurs laïcs Ponce de la Rivière vers 1172 jusqu'à Marie-Claude Camusat, de 1769 à 1789, épouse de M. de Loynes.

En 1644, par lettres patentes, la terre devient une châtellenie pour Pierre III Pithou, la reine alors régente par lettre du reconnaissait l'antériorité de l'appellation de vicomté pour la seigneurie de La Rivière-de-Corps[18] sans qu'il soit actuellement possible de dire à quand remonte ce vicomté. L'enregistrement au parlement de Paris se fit le et la vicomté comprenait : Boulage, Chicherey, les hameaux des Fontaines, Voué, la Maladière, les Noës, une partie du village de l'Épine et Sainte-Savine pour partie. Le siège de la vicomté était au château des Granges[19]. C'était un hostel seigneurial cité en 1512, comprenant cinq quartiers et quatre cordes de terres en 1621 ayant colombiers et vergers fermez de fossés en 1713.

La commune était en 1789 de l'intendance et de la généralité de Châlons, du bailliage et de l'élection de Troyes.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]
École primaire - mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1925 juillet 1926 Arsène Beaugrand    
juillet 1926 juillet 1932 Henri Grados    
juillet 1932 mai 1935 Ariste Mignot    
mai 1935 octobre 1947 Émile Buck PCF  
octobre 1947 novembre 1963 Emmanuel Heimann    
novembre 1963 mars 1968 Maurice Rouard    
mars 1968 mars 1977 Georges Leclerc    
mars 1977 septembre 2004 Maurice Sommer SE  
septembre 2004 mars 2008 Georges Thévenon SE  
septembre 2008 mai 2020 Véronique Saublet Saint-Mars[20] DVD Conseillère départementale du canton de Saint-André-les-Vergers depuis 2015
mai 2020 En cours Christophe Chomat[21]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].

En 2021, la commune comptait 3 651 habitants[Note 4], en évolution de +14,13 % par rapport à 2015 (Aube : +0,74 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
332391345324331365370373369
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
355352343307302294281289281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311302281294364440563559575
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6929461 4691 8302 6312 9522 9542 9273 253
2021 - - - - - - - -
3 651--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,8 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 641 hommes pour 1 816 femmes, soit un taux de 52,53 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,5 
9,1 
75-89 ans
9,9 
21,3 
60-74 ans
21,7 
22,3 
45-59 ans
22,1 
14,3 
30-44 ans
16,2 
13,3 
15-29 ans
12,0 
18,7 
0-14 ans
15,5 
Pyramide des âges du département de l'Aube en 2021 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
7,4 
75-89 ans
10,2 
17,4 
60-74 ans
18,4 
19,4 
45-59 ans
19 
17,8 
30-44 ans
17,3 
18,3 
15-29 ans
15,9 
19 
0-14 ans
17,1 

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
  • Deux anciens lavoirs construits sur le parcours des Viennes dont un détruit.
  • La chapelle Saint-Hippolyte était une dépendance de la paroisse de Sainte-Savine. Elle a été vendue le comme bien national. Elle fut détruite en 1820. Elle a l'abbaye de Montier-la-Celle, confirmé en 1185 par Mannassès de Pougy alors évêque de Troyes. Elle était bâtie sur un plan de croix latine à la croisée du chemins venant de Saint-Hippolyte avec la route de Troyes à Vauchassis. Le musée Saint-Loup conserve un bas-relief provenant de la chapelle[28].
  • L'église Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, située au 45 rue Jean Jaurès. Créée en 1945, l'église fut aménagée à l'intérieur de la grange de M. et Mme Legros-Massey.

Personnalités

[modifier | modifier le code]

Émile Buck

[modifier | modifier le code]

Émile Buck né le à Paris (11e arrondissement), et mort en à Dachau, conseiller municipal et maire de la commune. Également connu pour avoir été un résistant pendant la Seconde Guerre mondiale, lors de laquelle il est arrêté et déporté[29]. Il appartint au bureau départemental des "Amis du rappel", formation politique de René Plard. Il fut ensuite élu au comité central en février 1933 puis en . Il dirigeait la liste d'union des gauches pendant l'élection municipale de , et fut élu maire de la Rivière-de-Corps à l'issue de celle-ci.

La première étape de sa participation à la Résistance a été de rejoindre le Bureau des opérations aériennes (BOA), qui collabora avec les Francs-tireurs et partisans français (FTPF), un mouvement de résistance interne créé par le Parti communiste français[29]. Son fils Auguste, alors démobilisé du front italien, s'inscrit au Front national, un mouvement de résistance d'obédience communiste pendant la Seconde Guerre mondiale.

Émile et Auguste Buck aidèrent les aviateurs américains à se cacher et participèrent à un réseau qui fut démantelé dans la commune voisine de Sainte-Savine[29].

Émile Buck fut arrêté par la Gestapo le et fut déporté. Quant à Auguste, il fut arrêté le même jour à Prugny (Aube). Ils furent tous les deux internés au camp de Royallieu (Frontstalag 122) à Compiègne (Oise) en France, un « camp d'internement pour les prisonniers politiques jugés dangereux » par le Reich[29]. Le père et le fils furent ensuite déportés le dans le « train de la mort », appelé ainsi en raison du nombre élevé de décès ayant lieu pendant le voyage[29],[30], avant d'arriver dans le camp de concentration de Dachau, en Allemagne, le suivant[29]. C'est ici que mourra Émile en , peu de temps avant que les Américains libèrent le camp[31].

Émile Buck a donné son nom à une rue de la commune, ainsi qu'à un stade de football[32].

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

De vair à la bande d’argent côtoyée de deux cotices du même, au chef d’azur chargé de deux burèles ondées d’argent.

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de la Rivière-de-Corps » sur Géoportail (consulté le 18 mai 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Fiche communale de la Rivière-de-Corps », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Rivière-de-Corps et Barberey-Saint-Sulpice », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Troyes-Barberey », sur la commune de Barberey-Saint-Sulpice - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Troyes », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Histoires d'eau », sur Troyes d'hier à aujourd'hui (consulté le ).
  16. « Rivière de Corps :: Sang et Corne », sur Electrophone (consulté le ).
  17. « D’où vient le nom de La Rivière-de-Corps? », sur Journal L'Est Éclair abonné, (consulté le ).
  18. Cartulaire Rivière-de-Corps, f° 163 v°.
  19. Jean-Charles Courtalon-Delaistre, Topographie historique de la ville et du diocèse de Troyes, Paris, Antoine Fournier libraire et Troyes la Veuve Gobelet imprimeur, 1784, III p75.
  20. Site officiel de la préfecture de l‘Aube
  21. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21616227
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Rivière-de-Corps (10321) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
  28. Le Clert, Archéologie monumentale , n° 494.
  29. a b c d e et f « EMILE BUCK », ADIRP de l'AUBE,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Fondation pour la mémoire de la déportation », .
  31. « Site officiel de la commune de La Rivière de Corps, Aube, 10440, Grand Troyes (La Rivière-de-Corps) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur larivieredecorps.fr (consulté le ).
  32. « Site officiel de la commune de La Rivière de Corps, Aube, 10440, Grand Troyes (La Rivière-de-Corps) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur larivieredecorps.fr (consulté le ).